Même si l’on sait que les bonbons sont constitués de sucre, sirop de glucose, arôme de coquelicot, acidifiant et colorant, la recette permettant de transformer les fleurs rouges sauvages en confiserie reste mystérieuse. Fruit d’une délicate alchimie s’obtenant au terme d’un processus maîtrisé, elle est produite sur 2 parcelles de 3 hectares gratuitement mises à disposition des confiseurs locaux par les agriculteurs nemouriens. Les 2 professions participent ainsi à la promotion d’un produit local à l’image de cette jolie ville située près de Fontainebleau.
Depuis 2015, la Chine compte parmi les pays appréciant ce petit bonbon plat, rectangulaire et rouge. Il s’y exporte très bien ainsi qu’au Danemark, en Norvège, Suède, Espagne et Grande-Bretagne. Coco(coquelicot)rico ! Pour en déguster, rendez-vous sur ce site ou celui-ci.
Valérie de Comme des Français