Le marché du luxe de seconde main

Répondre aux préoccupations environnementales et économiques des consommateurs tout en leur permettant d’acheter des produits de qualité : c’est tout l’enjeu du marché du luxe de seconde main. Un secteur en pleine expansion notamment dynamisé, depuis 10 ans, par la marque Monogram Paris (foulard, maroquinerie, prêt à porter).

D’une démarche solidaire à un marché de plusieurs milliards

Si des plateformes comme Vinted ou Leboncoin ont popularisé la revente de produits dont on ne veut plus, historiquement l’idée de prolonger leur vie en ne les jetant pas est issue d’associations comme Emmaüs.

Une première logique d'économie circulaire que le secteur de la mode a progressivement intégrée au point qu’aujourd’hui le marché de seconde main dans le luxe en France c’est :

Plus de 6 milliards d'euros en 2022 (et 15,6 milliards d'euros en Europe).
Une croissance annuelle moyenne entre 10 % et 15 % pour les 10 prochaines années.
91% de Français déjà conquis (75% des moins de 35 ans étant même des consommateurs réguliers).

Parmi les motivations de ces acheteurs on retrouve principalement :

Le rapport qualité/prix : moins chers que les neufs mais toujours de qualité, les produits de luxe deviennent plus abordables. Un critère particulièrement important en période d’inflation.
L’écologie : réduire la demande de nouveaux produits diminue leur production et donc l'empreinte carbone associée. Acheter des vêtements ou accessoires existants limite également les déchets et encourage la durabilité.
La transparence : de plus en plus aguerris aux pratiques de greenwashing, les jeunes acheteurs (Génération Z et milléniaux en tête) privilégient les initiatives transparentes et, pour l'authenticité des articles, les plateformes spécialisées.

Renouveler son dressing sans culpabiliser

Rendre le marché du luxe accessible au plus grand nombre : voici la vocation à l’origine de la création de Monogram Paris en 2015.

En même pas 10 ans, la marque est devenue une référence dans le secteur de la seconde main française en proposant à des prix attractifs des sacs, bijoux ou vêtements de créateurs (Louis Vuitton, Balenciaga, Gucci, Chanel, Yves Saint Laurent…).

Le foulard Hermès d'occasion est ainsi proposé pour ne citer qu’un produit parmi les plus recherchés.

Dans une industrie de la mode connue pour être l’une des plus polluantes au monde, l’engagement de Beverly Sonego (fondatrice et ambassadrice de cette success story française) pour une consommation plus qualitative que quantitative prend également tout son sens.

Et à propos de qualité, rien n’est laissé au hasard chez Monogram Paris :

Des experts sourcent et sélectionnent dans le monde entier le meilleur du vintage et du luxe : matières, coutures, étiquettes ou encore fermoirs du dernier It bag ou de très prisées pièces de collection sont passés au crible pour déjouer les subterfuges des contrefacteurs.
Toutes les pièces de grandes marques sont ensuite authentifiées par des équipes spécialisées et leurs outils (détecteur de diamants, pierre de touche, logiciels spécifiques…).
Un soin particulier est enfin accordé à la transparence sur les produits vendus avec la fourniture d’un certificat d’expertise et d’informations détaillées pour chacun.

Autant d’engagements ayant fédéré une grande communauté fashion appréciant également les conseils mode donnés par la marque sur son site internet ou dans son showroom parisien (avenue Victor Hugo dans le 16e arrondissement). De fidèles aficionados qui attendent désormais quotidiennement la sélection, triée sur le volet, de cette entreprise pionnière du marché de la seconde main au pays du luxe.

Pour s’offrir de nouvelles pépites sans se ruiner tout en ménageant la planète, rendez-vous sur le site de Monogram Paris.

Valérie de Comme des Français

----

Pour compléter la lecture