Si la chemise est présente dans toute garde-robe masculine digne de ce nom, c’est le résultat d’une longue histoire : l’existence de ce vêtement remonte en effet à 3 000 ans et son usage et son style ont beaucoup évolué au cours des siècles.
Si la chemise est présente dans toute garde-robe masculine digne de ce nom, c’est le résultat d’une longue histoire : l’existence de ce vêtement remonte en effet à 3 000 ans et son usage et son style ont beaucoup évolué au cours des siècles.
Aujourd’hui la Camisia, du gaulois « couvrir », se décline en chemisette (avec des manches courtes), en chemisier (pour les femmes avec une coupe cintrée) ou encore en chemise de nuit (robe fine plus ou moins longue pour dormir) mais revenons à l’origine de cette pièce couvrant le buste et les bras.
Antiquité : un sous-vêtement
C’est sous la 1ère dynastie égyptienne que les chemises, majoritairement en lin, apparaissent avec leurs larges manches permettant une grande liberté de mouvement. Un confort offrant également protection au torse alors recouvert d’autres vêtements.
Moyen Âge : un marqueur de statut social
Toujours en lin, à manches longues et portée sous d’autres vêtements (atténuant ainsi leur aspect rugueux), la chemise se rapproche de la tunique romaine : semi-boutonnée et resserrée avec un cordon à l'avant.
Souvent bouillie pour des raisons d'hygiène, sa longueur plus ou moins importante est un marqueur de richesse.
Renaissance : une pièce distinguée
Broderies en soie, fil d'or, dentelles, boutonnière, col amovible : la chemise devient un vêtement d’apparat et se décline dans des matériaux plus nobles et diversifiés. Désormais élément visible de la garde-robe bourgeoise, elle se doit d’être la plus blanche possible et ses ornementations jouent elles aussi un rôle de distinction sociale.
Du 17e au 19e siècle : le début de la diversification
La tendance « froufroutante » de la Renaissance se confirme avec l’apparition de cols à volants, de manches longues avec poignets de dentelle ou encore de décolletés froncés.
Côté matières la dentelle, la soie de Lyon ou la flanelle font leur apparition et, en 1871, la révolution industrielle permet la production en série de chemises plutôt formelles pour les bourgeois et, pour les artistes, sans col, colorées et avec d’amples manches.
Epoque moderne : vive la personnalisation
La rangée de boutons frontale apparaît, les cols fixes et non plus amovibles reviennent et le blanc devient une couleur parmi d’autres même si, pour les métiers émergents du tertiaire, elle reste majoritaire (d’où l’expression "cols blancs").
Velours, nylon, lin, coton… Les matières sont aussi variées que les coupes ou les motifs pour ce vêtement désormais accessible à tous, partout, pour toutes les occasions.
Si elle habille les hommes depuis 3 000 ans, depuis 3 générations le spécialiste de la mode masculine Zed by les conseille dans la sélection du bon modèle allant avec leur costume. A col barrette, cassé, mao, anglais, français ou italien, de style plutôt décontracté ou pour une cérémonie : cette marque créée en 1980 sait que la chemise de costume pour homme est une pièce maîtresse et, dans leurs deux magasins parisiens du 91 rue de Turenne (dans le Marais), il y en a pour tous les âges et tous les styles.
Les chemises proposées par cette ancienne famille de grossistes en tissu sont faites avec une laine certifiée Super 150’s* offrant une grande souplesse et un agréable rendu tactile. L’exigence est présente dès la conception avec ses passionnés de mode et, des détails de la chemise au choix d’un costume ou d’une paire de chaussures la complétant de manière sophistiquée, l’élégance est toujours au rendez-vous.
Zed by assure une qualité et une élégance exceptionnelles. Je suis vraiment impressionné par cette marque et la recommande à 100%.
Pour un look impeccable à un mariage, au bureau ou dans la vie de tous les jours, rendez-vous donc chez Zed by en boutique ou en ligne, votre garde-robe vous dira merci.
Valérie de Comme des Français
* Système de mesure de l’épaisseur des fibres de laine pure
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